Le portrait astrologique de votre signe au masculin – Poissons

Le Poissons au masculin a toujours quelque chose de féminin dans son apparence et son allure. Ses gestes sont gracieux et dénotent une certaine retenue, voire une certaine pudeur. Passé maître dans la psychologie féminine pour la simple raison qu’il est largement féminin lui-même, la femme n’est pas pour lui, comme pour d’autres hommes, un mystère insondable, un casse-tête chinois ou une anguille insaisissable. Par conséquent, il pénètre l’âme féminine, sent ses réactions, perçoit ses désirs et aspirations. Pour comprendre l’autre sexe, il fait appel à son cœur et son intuition, et non à son intelligence et son raisonnement.

signe au masculin - PoissonsLe natif plaît beaucoup aux femmes, même à celles qui sont nettement plus âgées que lui. Son pouvoir de séduction est dû non seulement à son charme naturel, à sa gentillesse et à sa performance sexuelle, mais aussi et surtout à sa remarquable connaissance du beau sexe. Il sait recourir, à bon escient, à la douche écossaise. Au besoin, il peut aussi faire preuve d’arrogance, d’autorité et même d’une certaine brutalité. Mais ses manèges sont toujours judicieusement dosés et portent souvent les fruits escomptés.

L’homme Poissons ne prise rien tant que les conquêtes amoureuses, et préfère la quantité à la qualité. Mais cela ne veut nullement dire que c’est un amant fruste. S’il se marie, c’est souvent par accident plutôt que par choix délibéré, car c’est un coureur de jupons enthousiaste et infatigable qui aime à tout prix garder sa liberté d’action. A la différence de la femme Poissons, une fois marié, c’est généralement un époux fidèle et un bon père de famille.

On a intérêt à ne pas confier à l’homme Poissons des postes où il faut faire appel à la volonté et à l’esprit de décision. En effet, cet homme capricieux n’en fait qu’à sa tête. Indolent, il aime qu’on s’occupe de lui et résolve les problèmes à sa place.

Si le natif du Poissons veut être heureux, il doit forger lui-même son destin et diriger lui-même sa vie au lieu de s’en remettre aux autres et de jouer à la vigne grimpante.